Le Hiphop fait ses débuts aux Etats-Unis vers la fin des années 70. Cette musique est née dans les ghettos noirs américains à l'époque des Black Panthers.
Ceux-ci vont fonder la zulu nation dont leurs mots d'ordre sont : PAIX, AMOUR et UNITE. L'idée est de canaliser la violence engendrée par les jeunes gangs noirs et hispaniques et de la transformer en une énergie plus constructive, notamment par des compétitions artistiques. Les "défis" se passent dans la rue, les répétitions aussi...L'histoire du mouvement HIP HOP se confond alors avec celle de la Zulu Nation..
Les danseurs modifient leurs façons de danser: les danseurs sud-américains apportent leur technique de danse acrobatique nommé la "capoeira": c'est de là qu'est né la "breakdance", mais il existe aussi une forte influence des films ou des scènes de la vie quotidienne.
James Brown, sera sur scène l'un des monstres de la danse , les pas novateurs qu'il exécutait allait inspirer de nombreux jeunes de New-York.
Pendant ces mêmes années aux Bronx, se forment des soirées dite illégales; les block parties. Le principe est simple : on ferme les deux côtés de la rue avec des barrières et un service de sécurité, on branche les éclairages et la sono sous un lampadaire dont on détourne le courant et on fait payer un faible droit d'entrée pour que les gens du quartier viennent faire la fête loin des lumières de la ville.Puis, les DJs arrivent. Ils sont des personnages clé, les héros de la nuit. Avec leur mallette de disques pour animer les soirées, ils sont accompagnés de MC (Master of Ceremony ou Maître de cérémonie. C'est le leader du groupe Rap, celui qui organise et qui chante. C'est aussi le champion de l'improvisation verbale, celui qui tient le micro du sound-system.To emcee:le verbe) qui ont pour rôle d'accompagner les DJs en balançant quelques mots d'encouragement, d'exhorter les foules en les invitant à danser.
Ce sont des soirées organisés par la mairie de N.Y, qui ont pour but de combattre la violence et les règlements de compte entre gangs. Ces soirées vont développer la breakdance
Ceux-ci vont fonder la zulu nation dont leurs mots d'ordre sont : PAIX, AMOUR et UNITE. L'idée est de canaliser la violence engendrée par les jeunes gangs noirs et hispaniques et de la transformer en une énergie plus constructive, notamment par des compétitions artistiques. Les "défis" se passent dans la rue, les répétitions aussi...L'histoire du mouvement HIP HOP se confond alors avec celle de la Zulu Nation..
Les danseurs modifient leurs façons de danser: les danseurs sud-américains apportent leur technique de danse acrobatique nommé la "capoeira": c'est de là qu'est né la "breakdance", mais il existe aussi une forte influence des films ou des scènes de la vie quotidienne.
James Brown, sera sur scène l'un des monstres de la danse , les pas novateurs qu'il exécutait allait inspirer de nombreux jeunes de New-York.
Pendant ces mêmes années aux Bronx, se forment des soirées dite illégales; les block parties. Le principe est simple : on ferme les deux côtés de la rue avec des barrières et un service de sécurité, on branche les éclairages et la sono sous un lampadaire dont on détourne le courant et on fait payer un faible droit d'entrée pour que les gens du quartier viennent faire la fête loin des lumières de la ville.Puis, les DJs arrivent. Ils sont des personnages clé, les héros de la nuit. Avec leur mallette de disques pour animer les soirées, ils sont accompagnés de MC (Master of Ceremony ou Maître de cérémonie. C'est le leader du groupe Rap, celui qui organise et qui chante. C'est aussi le champion de l'improvisation verbale, celui qui tient le micro du sound-system.To emcee:le verbe) qui ont pour rôle d'accompagner les DJs en balançant quelques mots d'encouragement, d'exhorter les foules en les invitant à danser.
Ce sont des soirées organisés par la mairie de N.Y, qui ont pour but de combattre la violence et les règlements de compte entre gangs. Ces soirées vont développer la breakdance