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   no soy el solo imperfecto
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no soy el solo imperfecto

VIP-Blog de mellowman2006
  • 155 articles publiés
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  • Créé le : 14/04/2006 18:54
    Modifié : 11/06/2007 18:50

    Garçon (32 ans)
    Origine : casablanca
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    grand sam becket immortel

    15/04/2006 20:29

    grand sam becket immortel


    Pessimiste radical, obsédé par le silence, le dramaturge Samuel Beckett, dont l’oeuvre devenue classique reste l’une des plus singulières du XXe siècle, aurait eu 100 ans le 13 avril.

    “Si je me mets à réfléchir, je vais rater mon décès” : Beckett, Sam pour les intimes, l’auteur d’”En attendant Godot”, Prix Nobel de littérature en 1969, taquinait la mort à chaque phrase.

    Seize ans après sa disparition, le 22 décembre 1989, il survit grâce à son théâtre, à la fois tragique et comique, qui exprime le dénuement et l’impuissance de l’homme. Une oeuvre novatrice qui fit de cet Irlandais formé dans les meilleurs collèges protestants, un grand écrivain de langue française.

    Né le 13 avril 1906 à Foxrock, une banlieue aisée du sud de Dublin, jeune homme extrêmement brillant, Beckett aurait du devenir professeur. Mais le sens de l’absurdité du monde, et en premier lieu du langage, en fit très tôt un homme “à l’écart”, qui vivait “parallèlement au temps”. Longue silhouette fuyante, profil d’aigle et regard gris bleu, Beckett quitte une première fois l’Irlande en 1928 pour Paris, où il travaille comme lecteur d’anglais à l’Ecole normale supérieure. Il y découvre la liberté intellectuelle, l’alcool, et devient l’ami de son compatriote James Joyce.

    Dix ans plus tard, Sam se fixe définitivement en France. Il écrit alors en anglais, des poèmes, puis un premier roman “Murphy”, refusé par 42 éditeurs.

    Quand la guerre éclate, il pourrait rejoindre l’Irlande, neutre, mais entre au contraire dans la Résistance, préférant “la France en guerre à l’Irlande en paix”. Un nouveau roman “Watt”, toujours en anglais, ne trouve pas d’éditeur.

    Dès lors, Beckett va se fondre dans la langue française. En se détachant de sa propre langue, il aspire à une écriture minimaliste, selon lui “sans style”, dont la particularité est d’être reconnaissable entre mille.

    Le monologue devient la forme essentielle de son oeuvre. “Tout langage est un écart de langage”, écrit-il. En proie à une frénésie créative, il produit à la fin des années 1940 sa trilogie romanesque : “Molloy”, “Malone meurt” et “L’innommable”.

    Le succès vient en 1953 de sa rencontre avec le metteur en scène Roger Blin, qui monte sa première pièce majeure, “En attendant Godot”, alors que tous les directeurs de théâtre de Paris la refusent.

    “Fin de partie” (1957) et “Oh les beaux jours” (1963), dont la narratrice s’enfonce dans le sol, imposeront définitivement le théâtre de Beckett.

    Autre rencontre capitale : Jérôme Lindon, le fondateur des Editions de Minuit, qui publie à partir des années 1950 l’ensemble de son oeuvre. C’est le début d’un compagnonnage de plus de trente ans, d’une fidélité intransigeante.

    Une oeuvre majeure forte d’une trentaine d’essais, romans, pièces de théâtre, naît de leur collaboration. Une oeuvre que Beckett considérait comme “une tache sur le silence”, à l’image de sa vie “terne et dépourvue d’intérêt”.

    Dans ses dernières années, Beckett vivait dans une solitude farouche. Il est aujourd’hui l’un des écrivains de langue française les plus traduits dans le monde et l’un de ceux dont l’oeuvre fait l’objet de plus de commentaires.

    Peu de choses, en revanche, en France, pour célébrer le 100e anniversaire de sa naissance. Un roman, “Mercier et Camier” (1970), réédité aux éditions de Minuit et une lecture publique de son oeuvre, le 13 avril près de sa tombe au cimetière Montparnasse.







    LE ZOO D'AÏN SEBAA

    15/04/2006 17:26



    Curieux endroit que ce zoo d'Aïn Sebaa qui n'est mentionné dans presque aucun guide touristique. à gauche et à droite, des animaux vous accueillent : Vous les connaissez presque tous. Les volatiles tout d'abord avec les flamants roses, les vautours, les émeus, plus étonnamment les nandous et pécaris d'Amérique ; plus communément les canards, cygnes, poules et pigeons. Puis les cervidés avec les biches et les élans mais aussi des espèces plus rares comme le nilgant. Et puis les singes à qui vos cacahuètes et autres gourmandises plairont sans aucun doute. On ne peut pas les toucher, mais leurs regards sont parfois aussi parlants que des mots. Les lamas également. Les 5 lions (pour une lionne !) dorment au soleil. Les ours bruns pataugent dans l'eau. Bref, un panel très représentatif de ce que l'on peut voir dans tous les zoos du monde.

    Curieux endroit que ce zoo d'Aïn Sebaa qui n'est mentionné dans presque aucun guide touristique. Pourquoi? Certains diront que les animaux ne sont pas heureux (le sont-ils dans les autres zoos européens), qu'ils sont mal entretenus (tous ont le ventre bien rond et ne manquent pas d'eau) que les structures ne sont pas adaptées (la sécurité y est pourtant respectée), qu'il n'a pas un grand intérêt (c'est vrai qu'il n'y a pas d'animaux exceptionnels, mais ils sont bien représentés). Bref, nous, nous pensons qu'il faut justement en parler. L'afflux touristique ne peut qu'être bénéfique pour ce genre de lieu. Et puis, c'est le seul zoo du Maroc alors...

    N'hésitez pas à y aller. Bien sûr, si vous êtes une Brigitte Bardot en puissance, ne vous déplacez pas, mais aucun zoo au monde ne doit avoir votre approbation alors... Pour les autres, commençons notre visite : Tout d'abord cette inscription à l'entrée que nous n'avons pas comprise :
    " Vivre c'est aider les animaux ". à notre avis, la traduction du texte arabe a mal été interprétée.
    Cela étant dit, après avoir payé le minime droit d'entrée (cela permet à tous les marocains de pouvoir y accéder : riches ou pauvres), la longue allée centrale s'ouvre à vous. à gauche et à droite, des animaux vous accueillent.


    Vous les connaissez presque tous. Les volatiles tout d'abord avec les flamants roses, les vautours, les émeus, plus étonnamment les nandous et pécaris d'Amérique ; plus communément les canards, cygnes, poules et pigeons. Puis les cervidés avec les biches et les élans mais aussi des espèces plus rares comme le nilgant.
    Et puis les singes à qui vos cacahuètes et autres gourmandises plairont sans aucun doute. On ne peut pas les toucher, mais leurs regards sont parfois aussi parlants que des mots. Les lamas également.
    On sera surpris de ne voir ni dromadaires, ni chameaux, ni ânes, mais ces animaux font partie du quotidien des marocains et leur place semblerait pour eux saugrenue dans un tel endroit. Des poneys que les enfants peuvent caresser attendent vos morceaux de pain. Les 5 lions (pour une lionne !) dorment au soleil.
    Les ours bruns pataugent dans l'eau. Les crocodiles sont immobiles (attention ! Les protections pour ces animaux semblent peu opportunes mais même s'ils semblent très calmes, méfiez-vous de l'eau qui dort). Les sangliers, les loups et renards et les lapins sont aussi de la partie. Bref, un panel très représentatif de ce que l'on peut voir dans tous les zoos du monde. Les cages ne sont pas très spacieuses, du coup, on voit très bien de près les animaux. Quelques bancs et une buvette pour vous désaltérer et les nombreux vendeurs de cacahouètes et de pop-corn agrémenteront votre parcours.

    Comment y aller : rendez-vous jusqu'à Mohammedia par l'autoroute direction Rabat ou par le bord côtier au nord de Casablanca. Puis, prenez la direction de la préfecture (elle est indiquée sur les panneaux). Vous tomberez dessus. Prix d'entrée : 0,1 euro pour les enfants et 0,2 euro pour les adultes. Ouvert tous les jours l'après midi.





    AIN SEBAA EN FORCE !!!

    15/04/2006 14:05

    AIN SEBAA EN FORCE !!!


    L'oeil du lion ce n'est pas tout à fait ça puisque la legende dit jadis et dans les temps lointains et comme tous le monde le sait, une grande partie de casa qui s'appelé Anfa a l'époque en grande partie c'été une forét de cedre et d'eucaliptusse et précisement la ou il y a aujourd'hui Ain Sebaa il y avait une source ou les lions venaient pour boirs "d'ou le nom ain sebaa" et c'est ausi de la d'où vient la légende de la mort de Sidi Balyotte.
    La forét parté de Sidi Aberrahman jusqu'a L'Wade el male7 vers el mohammadia. c'est comme pour Ain chok "la source de la fissure" qui se situe quelque part au abors de la route de médiouna aujourd'hui ca s'appele al wade al 7arre "le fleuve amer

    AIN HAROUSA

    Enfin voila la legende de ain harrouda comme elle ma était compter.
    Il y a fort longtemps, existé une jeune bergére simple d'esprit surnomé Harrouda, qui durant toute la journée passé son temps a rester assise prés d'une source a faire et defaire un vieux foulard noircit par le henné et qui porté de permanance sur sa tête, ausi elle empêche les autre femmes d'aller puiser l'eau de la source on leur disant qu'elles vont être transformées en statues de selle et que les chevres vont venir les léchées jusqua la disparition total de leurs statues, si jamais elles touchent a la source car il n'y a que elle qui peut le faire pour les autres, mais toutes les femmes des environs connaissaient Harrouda ainssi la laissait chercher l'eau pour elles.
    En échange et de temps en temps elles lui offrait un foulard ou du henné qu'elles lui mettaient sur les mains.
    Et personne ne sait ni commant ni quant fut la disparition de harrouda,
    une chose et certain c'est que la source en question aussitôt aprés la disparition de harrouda est tarie et quelques temps aprés un arbre a poussé a l'emplacement de la source.
    D'où l'arbre au foulard et au tronc barbouillé de henné. J'espér avoir satisfer votre curiositée. Et a une prochaine foie






    jimi hendix

    14/04/2006 21:44

    jimi hendix


    JIMI HENDRIX

     

    BORN: jimi hendix ne le 27novembre1942 a seatlE

    DEAD  le 1970a london england

    genre: rock

    style: blue rock;psycheolic soul;album rock:acid rock






    bob marley la legend

    14/04/2006 21:12

    bob marley la legend


    BOB MARLEY LA LEGEND

    BORN: robert nesta marley ne le 6 fevrier 1945

    a st ann.jamaic

    DEAD: le 11 mai 1981 a miami dans la floride u.s.a

    PREMIER SINGLE : le premier single de bob s intitule-judge not-c etais en 1962

    DERNIER ALBUM:dernier album de bob c etais -uprising-

    bob est mort le11mai1983 a l age de 36ans

     






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