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   no soy el solo imperfecto
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no soy el solo imperfecto

VIP-Blog de mellowman2006
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  • Créé le : 14/04/2006 18:54
    Modifié : 11/06/2007 18:50

    Garçon (32 ans)
    Origine : casablanca
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    jimi hendrix la legende (2)

    17/02/2007 16:37

    jimi hendrix la legende (2)


    Jimi débarque sur le sol de sa gracieuse majesté le 21 septembre 1966. C'est à son arrivée en Angleterre qu'on le nomme "Jimi" au lieu de "Jimmy", plus simple à retenir. Pour célébrer son arrivée, Chas l'emmène taper un boeuf chez un vieux routard du blues, Zoot Money. L'expérience est concluante, jimi se sent à l'aise. Il lui faut maintenant trouver des musiciens. Les auditions commencent le 28 septembre, il faut un bassiste et un batteur.

    "Je voulais la formation la plus restreinte possible pour avoir le meilleur impact. Je me disais qu'avec un guitariste rythmique ça ralentirait tout parce qu'il faudrait lui montrer exactement ce qu'on voulait. On a essayé un orgue pendant un quart d'heure, mais ça revenait à sonner comme n'importe qui."

    Eric Burdon (le chanteur des Animals) crée son nouveau groupe, les New Animals. Jimi et Chas assistent aussi à ces auditions. Et, alors que la place de guitariste vient juste d'être prise, un autre gratteux,
    Noel Redding, se présente. Chas lui propose d'être bassiste pour le groupe que veut faire Jimi Hendrix. Noel fait un essai, ça roule, et de un...

    Pour la batterie, c'est
    Mitch Mitchell, qui sort tout juste de son précédent groupe, le George Fames's Band.

    "L'audition fut assez étrange. Je rencontre ce type noir avec ses cheveux dans tous les sens, coiffé très sauvage et portant cette veste bleue." Il semblait vraiment sage, voire timide... mis à part ses cheveux. On n'a pas beaucoup parlé au début. C'était juste une audition prise en sandwich entre 2 sessions. Jimi parlait très doucement et donnait l'impression d'être très poli. J'ai tout de suite vu qu'il était un excellent guitariste. Mais à ce moment, ce qui m'a le plus surpris, c'est le nombre de styles différents qu'il était capable dejouer. J'avais juste à le dire et il le faisait! Je crois qu'on a joué "Have mercy babe" en premier. Jimi ne chantait pas vraiment, il marmonnait juste par dessus la musique. Chas essayait vraiment de l'exterioriser. Jimi et moi aimions vraiment le même genre de musique."

    Mitch a un style bien personnel et maitrise parfaitement l'instrument. Ses batteurs préférés sont tous des jazzmen (Elvin Jones, Kenny Clarke, Buddy Rich,...). Et de deux !! Ils font un premier jam ensemble. Résultat, 4 heures de folie musicale! Le groupe s'appellera l'Experience. L'Histoire commence...

    Le 1er octobre, Jimi rencontre enfin Eric Clapton "Slowhand", un véritable dieu vivant pour ses fans. La rencontre se passe à la Regent Polytechnic School où joue Cream ce soir là. Jimi monte sur scène, se branche sur l'ampli de Jack Bruce (le bassiste, qui parait-il n'a pas trop apprécié), et attaque "
    Killing Floor", le dernier 45t de Howlin' Wolf. Aussitôt Clapton arrête de jouer, quitte la scène et essaye de s'allumer une clope. Le choc est rude, il vient de rencontrer un guitariste qui le surpasse ! La semaine suivante, Eric Clapton porte une coiffure afro, et essaye de passer du temps avec Jimi dès qu'il le peut. Il lui fait même cadeau de la fameuse veste de hussard que Jimi arborera à ses débuts.
    Clapton & Hendrix
    Chas Chandler s'associe avec Mike Jeffrey, qui est chargé de financer les opérations de lancement. Car pour l'instant, les finances ne sont pas énormes (entre décembre 1966 et mars 1967, Jimi et Chas partage le même appartement qu'ils louent 20£ par semaine... ancien appartement de Ringo Star des Beatles. D'ailleurs Jimi en profite pour dévorer la bilbiothèque de Chas, principalement composé de livres de science-fiction, qui lui inspireront plusieurs titres comme
    Purple Haze, South saturn delta, Valleys of neptune, Third stone from the sun, etc...). Le trio de Jimi Hendrix commence à faire la tournée de tous les clubs londoniens, mais leur premier concert officiel se déroule au Novelty d'Evreux le 13 octobre ! C'est durant cette période, qu'il rencontre Jim Marshall, le père des fameux amplis du même nom. Quelques semaines plus tard, l'Experience débarque en France pour faire un de ses premiers gros concerts à l'Olympia, en première partie de Johnny Halliday ! (qui l'avait remarqué dès son arrivé en Angleterre pendant un jam regroupant Jimi et le Biran Auger Trinity, sur la scène du Blaises, club londonien, le 26 septembre) Noel Redding propose Gerry Stickells comme road manager, un ami de sa période Loving Kid.

    "L'olympia est pire que l'Apollo d'Harlem. C'est la salle la plus importante d'Europe. La première fois, ils étaient assis, complétement ébahis, mais ils écoutaient."

    De retour en Angleterre, le groupe enregistre son premier titre:
    Hey Joe. Le disque est autoproduit, et ce qui est incroyable c'est que plusieurs compagnies le refuse jusqu'à ce que Polydor accepte finalement. Le single sort en décembre 66 et coïncide avec les débuts du groupe dans la dernière d'une émission phare de la télévision anglaise "Ready Steady Go !". Le 5 janvier 1967, "Hey Joe" entre en 41ème position des charts anglais. Un mois plus tard il est numéro six. Entre-temps tout le monde a fêté l'anniversaire de Noel Redding le 25 décembre !

    La première véritable tournée débute avec une affiche assez inatendue comprenant les Walkers Brothers, Engelbert Humperdinck et Cat Stevens. Après les passages du Jimi Hendrix Experience, tous les autres groupes faisaient pâle figure et avaient l'air ridicules ce qui fit que l'ambiance n'était pas au beau fixe. Quand la tournée arrive au Finsbury Park Astoria à Londres, Hendrix éclipse carrément le reste de l'affiche en faisant monter l'ambiance avec quelques feux d'artifice. Eu milieu de la dernière chanson, "
    Fire", Hendrix aspergea sa guitare d'alcool à brûler avant de l'enflammer. Ce fut un scandale mémorable. Le lendemain, Jimi faisait la une des journaux !

    Son style de jeu à la guitare, son jeu de scène, ses fringues de toutes les couleurs, tout ça attire l'attention du public sur ce "barbare de la pop", qui plus est américain ! En moins de 6 mois Jimi était devenue une véritable star en angleterre ! Au printemps,
    Hey Joe est n°1 dans les charts anglais.

    Jimi devient pote avec Brian Jones des Rolling Stones. Ce dernier lui fait découvrir les sonorités oreintales qui auront une influence non-négligeable sur son style de musique.

    Jimi s'est déjà forgé une image. Très tôt considéré comme un "cas sexuel", il devient un apôtre de la drogue et du psychédélisme !

    Le premier album, au début de l'été 1967, "
    Are You Experienced ?" n'est détrôné de la première place de meilleur album que par le fameux "Sergent Pepper's Lonely Hearts Club Band" des Beatles. Dans la foulée, il est aussi élu second meilleur guitariste de l'année par la presse anglaise... le premier étant bien sûr Eric Clapton...

    Durant 2 ans, Jimi vit en compagnie d'un joli brin de fille, Kathy Etchingham, du côté de Brook Street. C'est d'ailleurs pour elle qu'il écrit "
    The wind cries Mary" après une violente dispute. Ce qui ne l'empêche pas de collectionner de nombreuses aventures. Par exemple, avec une jolie black Devon Wilson (qui lui fera rencontrer Miles Davis).

    Parallèlement à son jeu de scène complètement débridé, Jimi se tourne de plus en plus vers le travail en studio, où il exploite au maximum les possibilités offertes par les 4-pistes de l'époque, avec l'aide d'
    Eddie Kramer, magicien du son et des effets. Tout va pour le mieux pour l'Experience, même si parfois les tournées sont plutôt précaires:

    "On en chie avec les organisateurs. On ne peut meme pas faire de balance avant de monter sur scène. Ils disent qu'on est obscènes et vulgaires. Mais on joue notre set toujours de la même manière. Résultat, mon ampli me laisse tomber aux meilleurs moments, je ne sais pas pourquoi. Quoi qu'il en soit, de mon côté, je joue pour les autres et je ne vois pas d'obcénités dans ce que nous faisons ni dans notre attitude. On est juste emportés par la musique."

    "Je ne voudrais pas que les gens s'imaginent que c'est juste de la musique de hippies. Il n'y a que deux chansons qui peuvent vous donner le frisson dans un trip : "
    Are you experienced ?" et "May this Be love". Mais ce sont en fait des chansons très sereines, très relaxantes et propices à la méditation. Il y a un titre, "I don't live today", qui est dédié aux Indiens d'Amérique et à toutes les minorités opprimées. Voilà une chanson sur la marginalité. C'est ce que tout le monde dira. Au départ, l'expression "défonce" (freak-out) voulait dire baiser sur la banquette arrière d'une voiture, en jargon californien. Après ça, ma franchise me vaudra bien une expulsion."

    Jimi a conquit l'Angleterre, mais ce qu'il désire avant tout, c'est réussir chez lui, dans son propre pays, car la-bas, il est pratiquement inconnu... c'est le retour du fils prodigue !




    jimi la legende

    17/02/2007 16:35

    jimi la legende




    Avec son pote
    Billy Cox qui quitte l'armée 2 mois plus tard, Jimmy se produit souvent à Nashville dans le club "Del Morocco" et obtient même un enregistrement avec Bill "Hoss" Alle, pour Starday-King Records. Malheureusement, son style de jeu ne semble pas plaire au producteur. Il laisse Billy qui fait son bonhomme de chemin, mais avant de se séparer, ils font un pacte "Le premier qui réussira dans la musique prendrait l'autre pour jouer avec lui!"... et ce qui arrivera plus tard...

    En tournant dans le Sud c'est là qu'il apprend à jouer avec les dents, car ici tout le monde le fait. Le public est très très dur à impressionner et si tu ne sais pas jouer avec la guitare derrière la tête ou avec les dents, tu ne vaut rien. C'est la surenchère sur la manière de jouer la plus acrobatique.

    "Dans le Tenessee, si tu ne sais pas jouer avec les dents, tu es viré. Il y'a beaucoup de types avec des dents cassées dans le milieu de la musique là-bas. Une fois j'ai vu quelqu'un essayait de jouer comme ça et perdre 3 dents! Ils ne connaissent pas le secret de mon succès : une vie saine."

    Puis Jimmy décide à rentrer à Seattle pendant l'hiver 1962, où il joue dans un groupe populaire: "Bobbie Taylor & The Vancouvers". Jimmy à l'époque est uniquement guitariste et n'essaye pas de chanter.



    ... ensuite, c'est le dur apprentissage en tant que sideman...



    En janvier 1963, jimmy part pour sa première tournée avec George Odell. Après avoir traversé tous les Etats-Unis, il débarque finalement à New-York, fin 1963. Là il joue avec les Isley Brothers. Puis il retourne à Nashville où il rencontre un grand guitariste, Steve Cropper (guitariste d'Ottis Redding, et créateer de "The Hunter", un tube d'Albert King). Il y fait aussi la connaissance d'Albert King, un gaucher lui aussi (mais lui n'inverse pas les cordes).



    Fillmore, San Fransisco, (1965)De là, pendant l'hiver 1964, il part en tournée avec Little Richard and The Upstetters dans le sud des Etats-Unis. Cette rencontre donnera à Jimmy le sens du spectacle sur la scène. " Je veux faire avec ma guitare ce que fait Little Richard avec sa voix." Mais la star qui a son succès 10 ans derrière elle est carectérielle. Les musiciens reçoivent 5$ d'amende s'ils en portent pas l'uniforme, s'ils ne se coupent pas les cheveux à la coupe réglementaire, etc... Little Richard doit être la seule personne qu'on regarde sur scène. Jimmy commence à lui piquer son look : style de coiffure ("Je pense que ma coupe de cheveux est groovie. C'est mieux que d'avoir les cheveux raides. Les mèches c'est comme les vibrations. De la manière dont je les porte, j'ai des vibrations qui partent dans tous les sens"), moustache, fringues voyantes. C'est avec lui que Jimmy apprend le rock'n roll, car jusqu'à présent il n'était qu'un simple joueur de blues. Cette expérience pour Jimmy se termine en juillet 1965, en se faisant virer pour avoir loupé (volontairement) le bus de la tournée à New-York :
    " Nous ne sommes pas payés depuis 5 semaines et demi. Quand tu es sur la route, tu ne peux pas vivre de promesses. Je suis parti... "

    Dès son arrivée à New-York, il gagne le 1er pris au concours Appollo amateur : 25$. Il décide de rester un peu et s'installe à Harlem. Il tourne ensuite avec toutes les grandes pointures de la musique afro-américaine :

    - Ike & Tina Turner (mais Ike n'est pas vraiment d'un caractère agréable...)
    - Solomon Burke
    - Chuck Jackson
    - The Isley Brothers (pour la première fois il joue en solo et fait ses armes dans le soul)
    - Joey Dee & The Starlighters

    On peut l'entendre sur quelques titres :

    Rosa Lee Brook Curtis Knight & The Squires
    Janvier 1964
    "My Diary Utee" Octobre 1965
    "I Got You (I Feel Good)"
    26 Decembre1965
    "Shotgun"
    "One Night With You"
    The Isley Brothers
    The Isley Brothers Jayne Mansfield and The Squires
    21 Mai 1964
    "Testify (Part I & II)"

    23 Septembre 1964
    "The Last Girl"
    "Looking For A Love"

    5 Aout 1965
    "Move Over And Let Me Dance"
    "Have You Ever Been Disappointed?"
    Octobre1965
    "Suey"
    Buddy & Stacey and The Upsetters Ray Sharpe and King Curtis & The Kingpins

    Février 1965
    "Night Train" 21 Janvier 1966
    "Help Me (Part I & II)"

    Curtis Knight & The SquiresCette vie de bohème lui permet de rencontrer un max de nanas, ce dont il ne se prive pas (et on le comprend bien ;-) Toutefois à New-York en 1966 il entretiendra une véritable relation avec Diana Carpenter (à cause de qui il écrira d'ailleur The wind cries Mary) et qui donnera naissance à une petite Tamika en 1967 (sans que Jimi ne soit au courant).

    Mais Jimmy veut jouer son propre style de musique. De retour à New-York, il s'intalle dans Greenwich Village qui foisonne d'artistes en tout genre et forme son groupe: "Rainbowflowers" qui devient ensuite "Jimmy James & The Blueflames" où il chante pour la première fois. C'est vers cette époque que Jimmy s'intéresse de près à la musique de Bob Dylan. Surtout après la sortie de "Higway 61' Revisited" où sont talent de songwriter se fait sentir. Jimmy est "complexé" par sa voix... mais quand il écoute Bob Dylan, il se dit qu'il a une chance :o)

    "Les gens du Village étaient plus sympa que ceux d'Harlem, qui étaient froids et désagréables. J'avais quelques amis à Harlem, je leur disais "Venez, on va faire des trucs au village". Mais ils étaient fainéants et, en plus, ils avaient peur de ne pas être rémunérés. Je leur disais qu'évidemment les auditions ne seraient pas payées mais que c'était à nous de faire notre trou, petit à petit. Il y a des choses qu'il fallait accepter au début, mais eux ne voulaient pas, alors moi j'y allais et je jouais."

    En1966, il joue avec:
    - King Curtis (son idole! il atteint le sommet de sa carrière de sideman à ce moment là)
    - The Squires
    - Percy Sledge
    - Wilson Pickett

    Pendant l'été, les Rolling Stones débarquent pour la 5ème fois à New-York. En passant, ils assistent à un concert de Jimmy qui se taille une sacré réputation au Café Wha? où il joue la plupart du temps... d'ailleurs Linda Keith, la nana de Keith Richards craque pour lui et lui offre toute son "hospitalité" dans un grand appartement, décoré de tapisseries rouges et qui lui inspira "Red House".

    Jimmy est toujours le dernier à jouer au Café Wha?, car quand il est sur scène, il met tout les amplis à fond et c'est un déluge de larsen et de feedback, un mur de son que lui seul sait controler. Le seul moyen de l'arrêter pour le patron, c'est de couper purement et simplement le courant ! de toute façon, Jimmy vient de griller une nouvelle fois les lampes des amplis et plus personne ne peut jouer, c'est la fermeture du café! :o)

    Puis c'est les Animals qui achèvent leur tournée américaine avant de rentrer en Angleterre. Eux aussi vont voir Jimmy sur scène. Et c'est leur bassiste, Chas Chandler (un ami de Linda Keith), à la recherche de jeune talent pour sa reconversion dans le music-business, qui va tout déclencher:
    "Je suis allé le voir jouer à Greenwich Village, dans ce club appelé le café "Wha?". Lorsque j'ai vu Jimmy, je pense que c'était un jeudi après-midi, la première chanson que j'ai écouté était Hey Joe. Il n'y avait alors aucun doute à mon esprit. A mes yeux, Jimmy était un musicien exceptionnel. Et je ne comprenais pas pourquoi personne ne s'était encore intéressé à lui."

    La reprise de "Hey Joe" que joue Jimmy semble lui avoir tapé dans l'oeil! Quand Chas revient voir Jimmy en septembre, il lui propose de venir jouer en Angleterre ! Jimmy n'en croyait pas ses oreilles... la première chose qu'il a demandé, c'était de savoir si Chas connaissait Eric Clapton. Et comme la réponse était positive, Jimmy a aussitôt proposé une rencontre. Juste avant, fidèle à son pacte, il propose Billy Cox comme bassiste, mais Chandler n'a pas assez d'argent pour financer le voyage de 2 musiciens... en fait, il est obligé de vendre ses basses pour pouvoir financer les débuts de Jimmy !

    Jimmy se décide et s'envole pour Londres !

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    jimi hendrix

    17/02/2007 16:31

    jimi hendrix


    A sa naissance, il s'appelle officiellement "Johnny Allen Hendrix", nom que lui a donné sa mère Lucille Jeter. Il est né à 10h15 au King County Hospital. Son père, Al Hendrix est jardinier et plutôt austère, sa mère (enceinte de Jimi à 17 ans), d'origine cheerokee ne travaille pas et "aime bien les hommes"... Johnny ne connait pas encore son père, car celui-ci est enrôlé dans l'armée dès avril 1942. Lucille se retrouve seule avec un gosse, il lui faut un homme... elle le trouve dans le personne de John Williams, alcoolique et violent, et s'installe à Vancouver. Le ménage connaît rapidement des difficultés. Lucille atteinte de tuberculose chronique se retrouve à l'hopital, John Williams en prison et le petit Johnny trimballé de droite à gauche, chez sa mère, sa grand-mère et surtout Dolores Hall, une des soeurs de Lucille. Les visites chez sa grand-mère paternel, Nora, l'auront beaucoup marqué. C'est une véritable indienne vivant encore dans une résreve Cherokee en Colombie Britannique, et elle lui raconte souvent de vieilles légendes indiennes...

    Il vit quelques temps en Californie jusqu'à ce que la guerre soit terminée en 1945 et que son père le ramène avec lui à Seattle.

    1946: Al rebaptise Johnny Allen Hendrix en James Marshall Hendrix, en souvenir de son frêre décédé dans les années 20. Il fait ses premières armes à l'harmonica puis au violon.

    1948: naissance de Leon Morris Hendrix. Mais le couple ne s'entend plus... c'est le divorce en 1950.

    La garde de James Marshall (surnommé jimmy) et de son frêre est confié à Al. Même si ce dernier peut difficilement subvenir aux besoins que nécessitent la présence de 2 fils (jusqu'à ce qu'il trouve un travail dans l'usine de Boeing de Seattle en 1955, ses 2 fis habitent chez leur tante Pat à Vancouver). A 10 ans, Jimi est fan d'Elvis et va même le voir en concert au Seattle's Sicks Stadium. Little Richard qui fait un malheur à l'époque avec le tube "Lucille" a sa mère qui vit à Seattle. Durant une tournée il se déplace pour aller la voir. Jimi n'habite pas très loin et la vieille dame connait sa passion pour la musique. Elle envoie donc Little Richard voir Jimi à bord de sa grande Cadillac. Jimi et Léon sont complètement médusés !

    Al leur inculque une éducation relativement rigide qui permet à jimmy d'avoir des résultats satisfaisants à l'école.

    "A l'école, j'écrivais beaucoup de poésie et, à l'époque, j'étais vraiment heureux. Mes poèmes portaient essentiellement sur les fleurs, la nature, et des gens portant des robes. Je voulais être acteur ou peintre. J'adorais peindre des paysages d'autres planètes. Des trucs comme "Après-Midi d'Eté sur Vénus".L'idée du voyage dans l'espace m'excitait plus que tout."

    Bien qu'étant gaucher, Al force jimmy à tout faire de la main droite... il faut dire qu'à l'époque, les gauchers ne sont pas très populaires... Passioné de foot, jimmy joue pendant 2 ans au sein des Fighting Irish.

    Février 1958: Lucille meurt d'une hémorragie (elle est tuberculeuse de naissance) mais ses enfants n'assisteront pas aux obsèques...

    "Je me rappelle d'un rêve quand j'étais tout petit, avec ma mère enlevée sur des chameaux; il y avait une grande caravane et on pouvait voir l'ombre des feuilles sur son visage. Vous savez, quand le soleil brille à travers un arbre avec des reflets verts et jaunes. Et elle disait:"tu sais, je ne vais plus te voir beaucoup, alors, à bientôt". Deux ans après, elle mourut. Il y a des rêves qu'on n'oublie jamais"

    Très tôt, Al s'aperçoit que Jimmy veut jouer de la guitare en retrouvant de la paille au pieds de son lit : Jimmy utilisait le balai comme guitare :o) Mais le premier véritable instrument de jimmy est un ukulele qu'un ami complètement bourré de son père lui a vendu 5$ en 1955. Le premier signe du Voodoo Child, c'est de jouer sur une guitare de droitier en inversant les cordes. Malgré les amis de Al qui passent sans cesse à la maison, rien ne déconcentre Jimmy de son instrument. Son premier morceau s'apelle "Peter Gunn" (instrumental de la série TV du même nom). Mais il ne se mettra vraiment à en jouer qu'une fois qu'il aura entendu Chuck Berry et Muddy Waters. Jimmy est bercé dans la musique "rock" des blancs et les vieux disques de blues et de jazz de son père. Avant la guerre, Al était un talentueux danseur de jazz semi-professionnel. Il s'entraine tous les soirs en écoutant la radio et commence à se débrouiller plutot bien. Al le voit bien et décide lui acheter sa première guitare électrique, une Supro Ozark 1560s blanche. A partir de ce moment, Jimmy ne la quitte plus. En quelque sorte, cette guitare est un peu un substitut à sa mère...

    En 1958, à 17 ans, il tourne avec son premier "vrai" groupe, "The Rocking Kings", entre Seattle et Vancouver et en reprenant des vieux standards. Le groupe finit même à la deuxième place du concours de "Meilleur groupe de l'Etat" ! Très rapidement, jimmy s'aperçoit que les études ne l'intéressent plus et les abandonne définitevement en 1960. Al tente de leur faire bosser, mais sans succèe, Jimmy ne pense qu'à la musique. Al décide donc de lui acheter une guitare électrique digne de son nom, et lui offre une Danelectro. Les Rocking Kings se séparent et Jimmy intègre un nouveau groupe "Thomas & The Tomcats" qui tourne jusqu'à Vancouver. Il tourne dans quelques clubs, dont le "Spanish Castle" qui a inspiré la chanson "Spanish Castle Magic". Mais un jour, il se fait voler sa guitare, son père lui en rachète une, une Danelectro Silverstone rouge, qu'il baptise Bettie Jean (nom de sa petite amie de l'époque).

    Puis, en mai 1961, il se fait arrêter à bord d'une voiture volée (et en plus il n'a pas son permis), résultat : 7 jours de cellule. 2 jours plus tard il est une nouvelle fois pris à bord d'une voiture volée. Le juge le condamne à 2 ans de prison, mais un avocat le sauve de justesse en lui proposant de s'engager immédiatement dans l'armée, ce qu'il fait. Et jimmy s'inscrit donc chez les paras, dans la 101e aéroportée! Il obtient son diplôme de parachutiste en janvier 1962 et devient membre des Screaming Eagles, la division parachutiste de la 101eme troupe aeroportée. D'ailleurs Jimmy adore sauter en parachute, la seule chose intéressante pour lui à l'armée. Il voulait tellement changer qu'il n'avait même pas pris sa guitare avec lui.
    C'était la première foit qu'il mettait les pieds dans les Etats du Sud, source profonde du blues. Et forcément, sa guitare lui manque et son père lui envoie... Dans une lettre à son père:

    "Ne t'en fais pas et quand tu me reverrras, je porterai l'insigne de la fierté sur mon uniforme. Sois gentil de m'envoyer ma guitare dès que tu peux..."

    Il passe pour un marginal, car il dort avec sa guitare ! Comme à l'armée on n'aime pas beaucoup les marginaux, il passe le plus clair de son temps libre à Nashville à trainer dans les clubs. Fin 1961, entre 2 sauts en parachutes, il fait la rencontre d'un bassiste, Billy Cox, avec qui il se lie d'amitié et avec qui il monte un groupe les "King Casuals" qui joue à la fois dans la caserne et dans les clubs des environs. Et le miracle se produit, à son 26e saut, jimmy se brise la cheville et se retrouve réformé ! (certains se demandent si il n'y pas eu simulation, car sachant que Billy Cox quittait bientôt l'armée, il voulait faire de même).

    "Un matin, je me suis retrouvé devant les portes de Fort Campbell, à la frontière du Kentucky et du Tennessee. Mon paquetage sur le dos et 300 ou 400$ en poche...c'est tout ce que j'avais.... Finalement, au lieu de rentrer à Seattle, je suis allé trainer du côté de Clarksville..."

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    dire strait origine de groupe

    17/02/2007 16:23



    Origine du groupe [modifier]

    Mark Knopfler est un jeune journaliste de 27 ans quand un ami musicien lui présente le bassiste John Illsley. Tous deux décident alors de s'installer dans un studio et de tenter de vivre de leur musique. Les débuts sont difficiles, et le duo vit avec des moyens très limités.

    C'est cette situation qui influence le groupe, initialement appelé The Cafe Racers, pour le choix de son nom : to be in dire straits peut en effet se traduire par « être dans la dèche ».

    Dans leur petit studio, Mark Knopfler va composer en 1977 le titre qui restera comme l'hymne du groupe : Sultans of Swing, un hommage à tous les musiciens de bar et cabaret. Avec ce titre, le groupe décroche un petit contrat d'enregistrement pour un album, avec un budget très faible. C'est ainsi que la carrière du groupe démarre…

    Le triomphe du Rock « à l'ancienne » [modifier]

    En effet, l'album éponyme, enregistré pour seulement 12 500 livres sterling, remporte rapidement un énorme succès dans toute l'Europe - à l'exception notable du Royaume-Uni, qui ne viendra au groupe que plus tard - ainsi qu'aux États Unis. Le succès ne se dément pas avec le second disque du groupe, Communiqué, qui réussit le tour de force d'occuper la première place des charts allemands alors que Dire Straits est toujours à la 3e !

    En pleine époque Punk, le succès d'un tel groupe, qui pratique un rock très classique influencé par J.J. Cale et Dylan peut surprendre, mais il ne diminuera pas pour autant avec les prochains albums, Making Movies en 1980 et Love Over Gold en 1982. Ces disques, qui inaugurent des compositions et arrangements plus complexes, sont marqués par les tubes Roméo and Juliet et Private Investigations et par le départ de David Knopfler et du batteur Pick Withers. Ils seront remplacés pour les prochains disques par Hal Lindes (guitare) et Terry Williams (batterie), renforcé par Alan Clark aux claviers.

    En 1983, le groupe, pas davantage influencé par les tendances discoïdes des années 80 que par le Punk des seventies, sort ExtendedancEPlay, un mini-album de 4 titres qui contient le single Twisting By the Pool. Il sera suivi en 1984 par le double live Alchemy, qui remporte un énorme succès.

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    Brothers in Arms : stades et disques laser [modifier]

    En 1985, le groupe sort Brothers In Arms, qui restera comme son plus grand succès. Cet album est celui des premières mondiales : première vidéo à passer sur MTV en Angleterre pour Money for Nothing, single exceptionnellement "rock" pour le groupe, et surtout l'un des premiers albums à être diffusé sur un tout nouveau support discographique : le disque compact.

    La sortie du disque est suivie par une tournée monumentale, qui voit Dire Straits jouer dans des stades pleins à craquer : le groupe remplit l'enceinte de Wembley 13 soirs de suite, et celle de l'Entertainment Centre à Sydney 21 fois ! Il joue également au Live Aid en compagnie de Sting, et devient, grâce à cette tournée, le groupe le plus vendeur des années 80. Au niveau line-up, cette époque marque le départ de Hal Lindes, remplacé par Jack Sonni, et l'ajout d'un second clavier, Guy Fletcher.

    La fin du groupe [modifier]

    Epuisés par le gigantisme de la tournée Brother In Arms, les membres du groupe décident en 1986 de faire une pause, occasion pour Knopfler de travailler sur ses albums solo. Le groupe ne jouera qu'une fois, pour l'anniversaire de Nelson Mandela en 1988 (accompagné pour l'occasion d'Eric Clapton), avant sa reformation l'année suivante.

    En 1989, Dire Straits, composé alors de Knopfler, John Illsley, et des claviers Alan Clark et Guy Fletcher, et accompagné par divers musiciens de session dont le batteur de Toto Jeff Porcaro, se lance dans l'enregistrement d'un nouvel album. Mais On Every Street, sorti finalement en 1991, ne remportera pas le succès de ses prédécesseurs, pas plus que la tournée qui suivra, dont on retrouve des extraits sur le live de 1993 On The Night. Finalement le groupe se sépare en 1995, avec un Mark Knopfler au bout du rouleau qui déclare « [ne plus vouloir] entendre parler de Dire Straits pendant au moins 10 ans ! »

    À l'heure actuelle, Dire Straits reste un groupe légendaire pour beaucoup, notamment dans des pays comme l'Inde ou l'Afrique du Sud. Le groupe a vendu plus de 118 millions d'albums depuis ses débuts.

    Style et influences [modifier]

    Débutant en pleine époque punk et évoluant des les années 80, Dire Straits n'en reste pas moins un groupe de rock « à l'ancienne », influencé principalement par les années 60, voire 50, et le Blues. Les influences du groupe sont à chercher du côté de Bob Dylan pour le style de chant, et de J.J. Cale, Hank Marvin, Eric Clapton ou encore Chet Atkins pour le jeu de guitare. Mark Knopfler joue exclusivement aux doigts, n'utilisant pas de médiator, et emploie l'ancestrale technique Blues qui consiste à alterner phrases chantées et phrases de guitare selon un système de "questions - réponses". Son jeu, simple et classique mais d'une grande élégance, est le fondement du son de Dire Straits. Les autres membres du groupe sont pour le moins discrets, et Knopfler se réserve en général les solos.

    Comme l'a fait remarquer le journal Le Monde, une grande modestie a toujours fait partie de l'image de marque du groupe (qui alla même jusqu'à décapitaliser son nom sur certaines affiches et pochettes : dIRE sTRAITS). Ses membres refusèrent longtemps de faire figurer leurs photos sur les pochettes. Cela se retrouve même dans les thèmes des chansons : du Sultans of swing des tous débuts jusqu'à Calling Elvis, Mark Knopfler semble plus soucieux de rendre hommage aux artistes qu'il admire que de se mettre en valeur lui-même. Cette discrétion personnelle s'accompagnait d'un grand perfectionnisme, notamment sur le plan technique : le groupe était réputé pour faire le désespoir des ingénieurs du son et des organisateurs de leurs tournées (auxquels sont dédiés la chanson et le clip Heavy fuel). Ce son très soigné a fait de Dire Straits le groupe idéal pour les débuts du CD, qui leur permettait de faire ressortir les moindres nuances de leur son. Brothers in arms fut d'ailleurs souvent employé pour faire la démonstration des possibilités sonores des nouveaux lecteurs. Il arriva même que l'album soit fourni avec l'appareil !

    Malgré une grande discrétion personnelle et une musique relativement peu innovante, le groupe n'en est pas moins devenu une référence, voire pour certains un véritable mythe, notamment à l'extérieur de l'Occident (Inde …), où Dire Straits reste l'un des groupes européens les plus appréciés. Les albums solo de Mark Knopfler, pourtant parfois de qualité comparable, sans être boudés par le public, ne sont jamais parvenus à remporter le même succès.

    Composition [modifier]

    • Mark Knopfler : guitare, chant
    • David Knopfler : guitare (jusqu'en 1980)
    • John Illsley : basse
    • Pick Withers : batterie (jusqu'en 1982)
    • Hal Lindes : guitare (à partir de 1982)
    • Alan Clark : clavier (à partir de 1982)
    • Terry Williams : batterie (à partir de 1984)
    • Guy Flechter : clavier (à partir de 1985)

    Musiciens de studio [modifier]

    • Barry Beckett alias B.Bear : clavier (sur Communiqué)
    • Roy Bittan : clavier (sur Making Movies)
    • Ed Wash : synthétiseurs (sur Love Over Gold)
    • Omar Akim : batterie (sur Brothers In Arms)
    • Jeff Porcaro : batterie (sur On Every Street)
    • Manu Katché : batterie (sur On Every Street)
    • Paul Franklin : steel guitare (sur On Every Street)
    • Chris White : saxo, flûte (sur On Every Street)
    • Danny Cummings : percussion (sur On Every Street)
    • Vince Gill : chœur (sur On Every Street)

    Discographie [modifier]

    Albums studios [modifier]

    Lives [modifier]

    Compilations [modifier]

    Vidéographie [modifier]






    l histoire de groupe

    17/02/2007 16:18

    l histoire de groupe


    Histoire du groupe

    Pink Floyd est un groupe mythique qui a marqué plus d'une génération. Inspirés des Beatles et ayant des influences de Jazz et de Blues, les membres du groupe ont su révolutionner la Pop et le Rock. ils ont crée une musique psychédélique en mélangeant des genres bien connus avec des sons nouveaux . Ils ont plongé au fin fond du rock expérimental, prouvant leur appartenance au Rock progressif.

    Syd Barrett [Roger est son vrai prénom] est le fondateur du groupe. Etudiant aux beaux arts, c'est lui qui confère au groupe sa nature mystérieuse de par la magie des paroles souvent poètiques et l'étrange musique révèlant de nombreux talents au sein du groupe. A cette époque, Pink Floyd est formé de : Syd Barret [guitariste], Rick Wright jouant de l'orgue et du synthétiseur plus tard, Roger Waters [bassiste] et Nick Mason [batteur], les deux dérniers sont architectes de formation... Le nom de Pink Floyd vient de l'association des prénoms de deux bluesmen Américains idoles de Syd : Pink Anderson et Floyd Council. Le résultat donne Pink Floyd.

    Pink Floyd se font connaître dès 1967 avec «Piper At The Gates Of Dawn». Des grands comme John Lennon assistaient à leurs spéctacles. Surtout que Pink Floyd enregistraient leur disque à Abbey Road, la même maison de disques des Beatles à la fin des années soixantes.

    Mais au bout du deuxième album, Syd Barrett au bord de la depression, quitte le groupe sans achever «A Saucerful Of Secrets». La relève revient incontestablement à David Gilmour, un vieil ami de Syd, excellent guitariste aussi. Et c'est lui qui sera à l'origine des directions que prendra le groupe sur le plan musical. Roger lui, prendra la responsabilité des paroles, continuant dans la même lancée que Syd et laissant peu de chance aux autres membres de s'exprimer.

    Après quelques bons albums tels que : «More» et «Meddle» [voir la discographie], «The Dark Side Of The Moon» sort en 1973. Un chef d'œuvre qui les propulsa au plus haut niveau. «The Dark Side...» resta classé pendant 15 ans au hit parade Américain. L'album bénéficia des meilleures techniques de sonorisation en plus d'un excellent ingénieur du son [celui qu'ils avaient depuis longtemps] : Alan Parson [il reçu le Grammy du meilleur ingénieur du son pour «The Dark Side...»].

    En 1975, les Pink Floyd rendent hommage à leur ancien leader : Syd Barrett. L'album «Wish You Were Here» parle de ce génie qui ne pu continuer son chemin au sein de sa création. La chanson «Have A Cigar» chantée par Roy Harper est bien explicite quand celui-ci demande à son ami «Which one's Pink ?».

    1977 est l'année de la sortie de «Animals» un album engagé qui cofirma le talent de Roger Waters en tant qu'auteur et de David Gilmour en tant que guitariste.

    «The Wall» sorti en 1979 est selon bien des gens le meilleur album des Pink Floyd. Waters donne libre cours à sa colère vis à vis des guerres qui éclatent de par le monde et critique la façon dont son pays est dirigé, notamment le système éducatif... Ce fut le dernier album dans lequel Waters et Gilmour ont collaboré à parts égales, les conflits entre Waters et les autres membres sont au plus haut point. Sous la pression de Waters, Rick Wright quitte Pink Floyd mais son départ n'allège pas l'atmosphère pour autant.

    En 1983 sort «The Final Cut», l'album le plus engagé du groupe. Les textes sont entièrement écrits par Waters, Gilmour et Mason étant réduis à de simples musiciens. «The Final Cut» est dédié à Fletcher Waters le père de Roger, décédé pendant la deuxième guerre mondiale. Waters finit par quitter Pink Floyd en 1983 réclamant tous les droits à lui tout seul. Mais après bien des querelles juridiques, Gilmour et Mason eurent gain de cause, ils garderont le nom de «Pink Floyd»...

    Après quatre ans d'hésitation, un nouvel album sort en 1987 : «A Momentary Lapse Of Reason». Ce dernier eu autant de succès que les précédents, la tournée qui le suivi également. Rick Wright est rappelé mais juste en tant que musicien.

    En 1994, alors que Wright retrouve son status de partenaire sort le dernier album «The Division Bell», excellent lui aussi suivi de l'album Live «P.U.L.S.E» contenant leurs chef d'œuvres à travers les quatre décénies qu'ils ont marquées...

    Retenez bien la légende d'un groupe dont la valeur n'a jamais diminué durant 30 ans d'existence, malgré le départ des leaders dont il a souffert.







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